TessLedeux ne retrouvera pas le public français ce week-end. L’étape de Coupe du monde de ski slopestyle prĂ©vue Ă  Tignes ce samedi 12 Error 403 Guru Meditation XID 572968870 Varnish cache server
IDREFJÄLL, SuĂšde — La meilleure chose qui pouvait arriver Ă  MikaĂ«l Kingsbury, c'Ă©tait qu'une course soit inscrite au calendrier de la Coupe du monde de ski acrobatique, dimanche. Cette
SPORT - MalgrĂ© la victoire individuelle, ce que je voulais transmettre, c'est que l'on n'est rien tout seul. Tu ne vas nulle part tout seul, et il faut tout un tas de bons facteurs et ĂȘtre bien entourĂ© pour que cela fonctionne. Il y a plusieurs mois, alors que j'entamais mon retour au haut niveau aprĂšs 6 ans loin des half-pipe, Laurent Jamet, un ami skieur qui a montĂ© sa sociĂ©tĂ© de production de films de ski m'a convaincue "si tu reviens, ça va ĂȘtre dĂ©tonnant, il faudrait en faire un documentaire". À l'Ă©poque, je ne savais pas comment mon retour allait se passer, mais pour lui, pour bien faire les choses, il fallait suivre l'histoire depuis le dĂ©but. Je me demandais mais pourquoi des gens voudraient-ils s'intĂ©resser Ă  moi ». Sa rĂ©ponse Ă©tait simple c'est Ă  l'histoire, Ă  ta trajectoire qu'ils vont s'intĂ©resser ». J'ai vu cela comme une chance d'avoir quelqu'un Ă  mes cĂŽtĂ©s, camĂ©ra Ă  la main, pour immortaliser tout ça. Laurent Ă©tait trĂšs discret, ce qui a permis de capter des instants authentiques. La vraie vie quoi ! Pour moi qui aime travailler en Ă©quipe, c'Ă©tait comme cela que je concevais l'expĂ©rience. Finalement, l'histoire s'est passĂ©e comme on avait dĂ©cidĂ© qu'elle allait se passer, avec cette mĂ©daille olympique. Mon prĂ©parateur mental me dit qu'on dĂ©cide toujours inconsciemment ce que l'on fait ou ce que l'on ne fait pas. Finalement, cet Ă©pilogue magnifique n'est peut-ĂȘtre pas si Ă©tonnant que ça ! MalgrĂ© la victoire individuelle, ce que je voulais transmettre, c'est que l'on n'est rien tout seul. Tu ne vas nulle part tout seul, et il faut tout un tas de bons facteurs et ĂȘtre bien entourĂ© pour que cela fonctionne un coach qui croit en toi, une famille qui croit en toi... et des amis qui croient en toi plus que toi-mĂȘme ! Tout cela créé un climat propice Ă  la performance de haut niveau. À mon retour sur les skis, j'avais encore plus de motivation qu'avant. 6 ans de vie classique », de routine, la maternitĂ©, le quotidien, m'avaient ouvert les yeux en quelque sorte. J'ai compris que ce que j'avais vĂ©cu jusque-lĂ  Ă©tait magique. J'ai vĂ©cu mon retour comme cela, et m'y suis mis Ă  fond. J'ai aussi quelque peu changĂ©. Avant, je n'Ă©tais pas la derniĂšre pour faire la bringue. Maintenant, le milieu a changĂ©, et j'ai vieilli je voyage en famille, et suis plus portĂ© sur les visites culturelles en marge des compĂ©titions plutĂŽt que les soirĂ©es en boĂźte. Sur le circuit, certaines filles m'ont regardĂ© diffĂ©remment. Il faut dire que quand j'ai quittĂ© une premiĂšre fois la compĂ©tition pour me consacrer Ă  ma famille, on Ă©tait seulement une dizaine Ă  vivre du ski freestyle. À mon retour, on Ă©tait 50 ou 60, dont beaucoup bien sĂ»r, ne me connaissaient pas. Certaines Ă©taient mortes de trouilles, car je reprĂ©sentais ce qu'elles avaient envie de devenir quand j'ai arrĂȘtĂ©. Pas mal d'autres pensaient que j'allais me planter. Jusqu'Ă  ce que ma copine AnaĂŻs Caradeux leur dise faites bien attention, elle a un sacrĂ© tempĂ©rament. Si elle est revenue, ce n'est pas pour rien ! ». Quelques mois plus tard, toujours devant la camĂ©ra de Laurent, je dĂ©crochais la mĂ©daille d'argent Ă  Sotchi. À ce moment lĂ , c'est toutes les pionniĂšres du ski freestyle que je reprĂ©sente. Elles font partie de moi. Je reprĂ©sente les femmes, qui montrent qu'on peut faire d'un sport alternatif une discipline olympique. Je reprĂ©sente aussi mes amis, ceux qui ne sont pas dans le ski, mais qui m'entourent, ceux font une pĂ©tanque avec moi le dimanche. C'est magique ! Je suis maintenant repartie pour une saison qui s'annonce intense, avec les Xgames, les championnats du monde et le SFR Freestyle Tour. Ce n'est pas moins bien que les jeux, la motivation est la mĂȘme. Je me suis entraĂźnĂ©e dur pour prĂ©parer des nouvelles figures. Mon but va ĂȘtre de rentrer ces nouveaux runs. S'il y a des rĂ©sultats Ă  la clĂ©, c'est tant mieux ! Je m'implique Ă©galement dans l'Ă©vĂ©nement Air Ladies Ă  Tignes les 18 et 19 mars avec cette saison la remise de la recette gĂ©nĂ©rĂ©e pour l'association Ela. Au nom des miens », de Laurent Jamet. Son site Martin Fourcade, triple mĂ©daillĂ© en biathlon - TrĂšs déçu par sa sixiĂšme place lors de sa premiĂšre course le sprint, Martin Fourcade a pris sa revanche deux jours plus tard en remportant la poursuite. Le biathlĂšte pyrĂ©nĂ©en a ensuite doublĂ© la mise lors de l'individuelle. Il a Ă©galement dĂ©crochĂ© l'argent lors de la mass-start. Pierre Vaultier, mĂ©daille d'or en snowboard cross - C'est l'histoire d'un miraculĂ© qui se dĂ©chire le ligament croisĂ© du genou en dĂ©cembre et qui remporte l'or deux mois plus tard Ă  Sotchi. Voici Pierre Vaultier, triple vainqueur de la coupe du monde de snowboard cross et dĂ©sormais champion olympique. Jean-FrĂ©dĂ©ric Chapuis, mĂ©daille d'or en skicross - DĂ©jĂ  sacrĂ© champion du monde de la discipline, Jean-FrĂ©dĂ©ric Chapuis a offert Ă  la France sa quatriĂšme mĂ©daille d'or en remportant l'Ă©preuve de skicross. A 24 ans, le skieur de Val-Thorens a rĂ©ussi l'exploit de remporter toutes ses courses de la journĂ©e. Marie Martinod, mĂ©daille d'argent en ski half-pipe - A 29 ans, Marie Martinod a remportĂ© une mĂ©daille d'argent inespĂ©rĂ©e il y a seulement deux ans. La skieuse de Tignes avait arrĂȘtĂ© la compĂ©tition pour donner naissance Ă  une petite fille qui Ă©tait prĂ©sente Ă  ses cĂŽtĂ©s pour la finale Ă  Sotchi. Steve Missillier, mĂ©daille d'argent en slalom gĂ©ant - DixiĂšme de la premiĂšre manche du gĂ©ant, Steve Missillier a sorti une deuxiĂšme manche incroyable pour ravir la mĂ©daille d'argent. Seul l'AmĂ©ricain Ted Ligety a battu le skieur du Grand-Bornand. Arnaud Bovolenta, mĂ©daille d'argent en skicross - Dans le sillage de Jean-FrĂ©dĂ©ric Chapuis mĂ©daillĂ© d'or, Arnaud Bovolenta a dĂ©crochĂ© l'argent dans l'Ă©preuve de skicross. Un vĂ©ritable exploit d'autant qu'avant les JO, le skieur de 25 ans n'Ă©tait jamais entrĂ© en finale de coupe de monde. Coline Mattel, mĂ©daille de bronze en saut Ă  ski - A tout juste 18 ans, Coline Mattel a fait mieux que tenir son rang lors de la premiĂšre Ă©preuve de saut Ă  ski fĂ©minin de l'histoire des Jeux olympiques. Outsider pour le podium en arrivant Ă  Sotchi, elle a dĂ©crochĂ© le bronze au terme d'un concours parfaitement maĂźtrisĂ©. KĂ©vin Rolland, mĂ©daille de bronze en ski half-pipe - Pour la premiĂšre compĂ©tition de ski half-pipe de l'histoire des Jeux olympiques, Kevin Rolland, champion du monde 2009 a dĂ©crochĂ© troisiĂšme place. Relais masculin, mĂ©daille de bronze en ski de fond - Robin Duvillard, Jean-Marc Gaillard dossard jaune, Maurice Manificat et Ivan Perrillat-Boiteux en bleu se sont offerts une mĂ©daille de bronze lors du relais 4x10km de ski de fond. C'est la premiĂšre fois qu'une Ă©quipe de France monte sur le podium d'une compĂ©tition internationale, qui plus est olympique. ChloĂ© Trespeuch, mĂ©daille de bronze snowboard cross - A 19 ans, la snowboardeuse française est la bonne surprise de ces Jeux puisqu'elle a remportĂ© la mĂ©daille de bronze dans l'Ă©preuve de boardercross, la mĂȘme qui a sourit Ă  Pierre Vaultier. Jonathan Midol, mĂ©daille de bronze en skicross - Le skieur du Grand-Bornand a complĂ©tĂ© le podium 100% de l'Ă©preuve de skicross en remportant la mĂ©daille de bronze derriĂšre ses compatriotes Jean-FrĂ©dĂ©ric Chapuis et Arnaud Bovolenta. Alexis Pinturault, mĂ©daille de bronze en slalom gĂ©ant - OubliĂ©e la dĂ©ception du combinĂ© pour Alexis Pinturault. Le jeune skieur français a pris sa revanche lors du gĂ©ant en remportant la mĂ©daille de bronze derriĂšre son compatriote Steve Missillier, en argent. Jean-Guillaume Beatrix, mĂ©daille de bronze en biathlon - Dans le sillage de Martin Fourcade, Jean-Guillaume Beatrix a remportĂ© la mĂ©daille de bronze dans l'Ă©preuve de poursuite. Le biathlĂšte français tentera de glaner d'autres breloques lors du relais. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 13 Martin Fourcade, triple mĂ©daillĂ© en biathlon - TrĂšs déçu par sa sixiĂšme place lors de sa premiĂšre course le sprint, Martin Fourcade a pris sa revanche deux jours plus tard en remportant la poursuite. Le biathlĂšte pyrĂ©nĂ©en a ensuite doublĂ© la mise lors de l'individuelle. Il a Ă©galement dĂ©crochĂ© l'argent lors de la mass-start. Donnerleur nom, leur superficie et la distance parcourue. Liste des fleuves de plus de 500 km se jetant dans une mer. Liste des fleuves qui cĂŽtoient l'espace maritime dans lequel se jette la RhĂŽne. Liste des pays qui cĂŽtoient les espaces maritimes dans lequel se jette un fleuve prenant sa source en France. L2 Sciences Eco, TP de Bases de DonnĂ©es 6 TP4. Interrogation en PHOTO LEE JIN-MAN, ASSOCIATED PRESS Olivia Asselin Olivia Asselin n’a pas fini de nous surprendre Ă  ses premiers Jeux olympiques. La QuĂ©bĂ©coise de 17 ans s’est qualifiĂ©e pour sa deuxiĂšme finale en autant d’épreuves, dimanche soir, en slopestyle. Asselin avait deux descentes pour montrer l’étendue de son savoir-faire et se classer parmi les 12 premiĂšres. La native de LĂ©vis a skiĂ© avec brio Ă  son premier passage. Fluide et en confiance sur ses skis, elle s’est dĂ©marquĂ©e de ses adversaires par la crĂ©ativitĂ© de ses sauts, obtenant 64,68 points. Elle pointait au 9e rang Ă  l’issue de la premiĂšre manche. Son deuxiĂšme essai ne s’est pas aussi bien dĂ©roulĂ©. À reculons sur le premier module, elle a fait une petite faute, ce qui a semblĂ© la dĂ©concentrer par la suite. Elle a tentĂ© un backslide sur le troisiĂšme module, mais a perdu l’équilibre Ă  l’atterrissage et n’a donc obtenu que 6,75 points. GrĂące Ă  sa premiĂšre descente, Asselin a pu conclure au 11e rang. La jeune athlĂšte, qui s’est classĂ©e 8e en finale du grand saut il y a quelques jours, tentera de dĂ©crocher sa premiĂšre mĂ©daille olympique lundi, Ă  20 h 30. L’Ontarienne Megan Oldham, seule autre Canadienne Ă  prendre part Ă  l’épreuve, a connu une journĂ©e plus difficile et n’a pu se qualifier. À sa premiĂšre descente, elle a chutĂ© dĂšs son atterrissage du premier module. Elle a tentĂ© de se reprendre Ă  son deuxiĂšme essai, mais a ratĂ© une prise de skis Ă  son dernier saut, ce qui lui a coĂ»tĂ© cher aux points. Elle a finalement obtenu 63,10 points et terminĂ© la compĂ©tition au 13e rang. La jeune sensation chinoise Eileen Gu, mĂ©daillĂ©e d’or en grand saut il y a six jours, a donnĂ© une petite frousse Ă  ses admirateurs. À sa premiĂšre descente, elle a fait une faute au premier module, avant de rater son atterrissage au troisiĂšme module. Ces deux erreurs ont fait en sorte qu’elle n’a obtenu que 57,28 points. La skieuse de 18 ans s’est toutefois bien reprise Ă  son deuxiĂšme passage, rĂ©coltant 79,38 points et se plaçant en troisiĂšme position. C’est l’Estonienne Kelly Sildaru 86,15 points qui a terminĂ© au premier rang des qualifications, suivie de la NorvĂ©gienne Johanne Killi 86,00 points. ToursAutres villes . S'inscrire Se connecter Mon compte VIDÉO. Ski acrobatique : l’impressionnante chute du SuĂ©dois Albin Holgrem Mardi 09 mars 2021 11:31 VIDÉO. Ski acrobatique : l HĂ©licoptĂšre ou rotation de trois cent soixante 360 degrĂ©s autour de l’axe vertical. dĂ©saxĂ© HĂ©licoptĂšre ou rotation de trois cent soixante 360 degrĂ©s, dĂ©saxĂ© par rapport Ă  l'axe vertical. Double hĂ©licoptĂšre ou rotation de sept cent vingt 720 degrĂ©s autour de l’axe vertical. dĂ©saxĂ© Double hĂ©licoptĂšre ou rotation de sept cent vingt 720 degrĂ©s, dĂ©saxĂ© par rapport Ă  l'axe vertical. Aigle aux ailes Ă©tendues Spread eagle Bras ou jambes Ă©tendus vers l'extĂ©rieur, skis parallĂšles et perpendiculaires au corps, haut du corps droit et vertical. Approche inversĂ©e des creux de bosse Reverse trough Technique consistant Ă  skier sur le sommet des bosses et Ă  tourner dans le sens inverse par rapport aux creux de bosse. Backscratcher L'athlĂšte se touche le dos avec l'extrĂ©mitĂ© arriĂšre des skis, jambes jointes, genoux flĂ©chis sous le corps et skis parallĂšles. Bosse Air bump ProtubĂ©rance amĂ©nagĂ©e sur le parcours de bosses. Bosse Mogul Bourrelet de neige créé par le passage des skieurs. Boucle Loop Saut latĂ©ral avec rotation autour de l’axe Pike Corps basculĂ© Ă  la ceinture et jambes tendues. Complet Full Saut avec vrille complĂšte. Complet Ă  la sortie Full out Vrille complĂšte sur le dernier saut d'un double ou triple saut pĂ©rilleux. Complet Ă  l'entrĂ©e Full in Vrille complĂšte sur le premier saut d'un double ou triple saut pĂ©rilleux. Complet Ă  l'entrĂ©e, complet Ă  la sortie Full in, full out Saut double avec une vrille par saut. Complet arriĂšre Back full Saut arriĂšre avec vrille complĂšte. Complet groupĂ©/carpĂ© Full tuck/pike Saut double, avec vrille sur le premier saut. Complet, complet, complet Full, full, full Saut triple avec trois vrilles, une vrille par saut. Complet, double complet Full, double full Saut double avec trois vrilles, dont une double vrille sur le second saut. Complet, double complet, complet Full, double full, full Saut triple avec quatre vrilles, dont deux vrilles sur le deuxiĂšme saut. Complet, double complet, groupĂ© Full, double full, tuck Saut triple avec trois vrilles, dont deux vrilles sur le deuxiĂšme saut. Complet, groupĂ©, complet Full, tuck, full Saut triple avec deux vrilles, pas de vrille sur le deuxiĂšme saut. Complet, position Ă©tendue Full, lay Saut double en position Ă©tendue, avec une vrille sur le premier saut. Conduite coupĂ©e Carving Conduite de virage coupĂ©e pour contrĂŽler la vitesse. Creux Ruts Creux entre les bosses. Creux Trough SĂ©rie de creux entre les bosses. Croix Cross L’athlĂšte forme un X » avec ses skis. Croix de fer Iron cross Semblable au backscratcher, mais skis croisĂ©s plutĂŽt que parallĂšles. Daffy L'athlĂšte Ă©carte les jambes, l'une tendue devant le corps, l'autre derriĂšre. Le ski avant est pointĂ© vers le haut et le ski arriĂšre vers le bas. Demi Half Saut avec demi-vrille. Demi Ă  la sortie Half out Vrille complĂšte sur le premier saut d'un double ou triple saut pĂ©rilleux Demi Ă  l'entrĂ©e Half in Demi-vrille sur le premier saut d'un double ou triple saut pĂ©rilleux. Demi, complet, demi Half, full, half Saut triple avec deux vrilles, dont demi-vrille sur les premier et troisiĂšme sauts, et vrille complĂšte sur le deuxiĂšme saut. Demi, demi, complet Half, half, full Saut triple, dont demi-vrille sur les deux premiers sauts et vrille complĂšte sur le troisiĂšme saut. Demi, groupĂ©, demi Half, tuck, half Saut triple avec deux demi-vrilles sur les premier et troisiĂšme sauts. Demi, rudy, complet Half, rudy, full Triple saut pĂ©rilleux arriĂšre, dont demi-vrille sur le premier saut, vrille et demie sur le deuxiĂšme saut et vrille complĂšte sur le troisiĂšme saut. Demi-demi Half-half Saut double avec demi-vrille sur chaque saut. Double complet, complet, complet Double full, full, full Saut triple avec quatre vrilles, dont deux sur le premier saut dĂšs l'envol. Double saut pĂ©rilleux Saut double. Double saut position Ă©tendue Double layout ou Lay-lay Saut double en position Ă©tendue. DSQ Disqualification. Effet bouchon de champagne Pop Extension du corps dĂ©part tremplin permettant de lancer le saut. Envol takeoff Envol sur tremplin. Envol en Ă©charpe Sling Envol mĂ©diocre sur tremplin, avec sur-rotation. Envol quatre points Four-point takeoff PlantĂ© des deux bĂątons Ă  l'impulsion sur bosse. GroupĂ© Tuck Genoux flĂ©chis sous le corps. GroupĂ© ouvert Puck GroupĂ© avec ouverture des jambes vers le haut Ă  45 degrĂ©s. Hauteur et distance CritĂšres pris en considĂ©ration dans la notation. Expression dĂ©crivant la prestation aĂ©rienne. HĂ©licoptĂšre Pirouette aĂ©rienne verticale sur 360 Combinaison d'aigle aux ailes Ă©tendues spread eagle et de zudnick. Ligne de chute Ligne imaginaire combinant l'inclinaison la plus forte et la ligne la plus directe, de haut en bas, quelle que soit la pente. Nez du plateau Knoll DĂ©limitation entre le plateau et la zone de rĂ©ception. Plateau Zone plane oĂč l’athlĂšte prĂ©pare son saut. Porte Le parcours de bosses est jalonnĂ© de 10 portes espacĂ©es rĂ©guliĂšrement. Position Assiette de l’athlĂšte pendant le saut. Position Ă©tendue Layout Recherche d'une extension maximum du corps. Position Ă©tendue, complet Lay, full Saut double en position Ă©tendue, avec vrille complĂšte sur le second saut. Position Ă©tendue, complet, complet Lay, full, full Saut triple avec double vrille, chaque vrille sur les deuxiĂšme et troisiĂšme sauts. Position Ă©tendue, complet, groupĂ© Lay, full, tuck Saut triple, avec premier saut en position Ă©tendue, vrille sur deuxiĂšme saut et troisiĂšme saut groupĂ©. Position Ă©tendue, groupĂ© Lay, tuck Saut double, le premier en position Ă©tendue et le second groupĂ©. Position Ă©tendue, groupĂ©, complet Lay, tuck, full Saut triple, le premier en position Ă©tendue, le deuxiĂšme groupĂ© et le troisiĂšme en position Ă©tendue avec vrille. Position Ă©tendue, groupĂ©, groupĂ© Lay, tuck, tuck Saut triple, le premier en position Ă©tendue, le deuxiĂšme groupĂ© et le troisiĂšme groupĂ©. Position Ă©tendue, position Ă©tendue, complet Lay, lay, full Saut triple, les deux premier sauts en position Ă©tendue et le troisiĂšme saut avec vrille. Prise du ski Grab En cours de saut, l’athlĂšte saisit un de ses skis dans sa main. RĂ©ception plaquĂ©e arriĂšre Slapback RĂ©ception de saut mĂ©diocre, en arriĂšre, dos plaquĂ© sur le sol, avant de poursuivre sur les skis. RĂ©ception quatre points Four-point landing PlantĂ© des deux bĂątons Ă  la rĂ©ception. RNS Receives No Score – Ne reçoit aucun point RAP. Rudy Saut avec une vrille et demie. Saut Air Saut de parcours de bosses. L'athlĂšte doit en effectuer deux par passage. Saut avant groupĂ© Saut avant simple groupĂ©. Saut complet Double full Saut simple en position Ă©tendue avec deux vrilles. Saut pĂ©rilleux Flip ou somersault Saut rĂ©alisĂ© vers l’avant, l’arriĂšre ou le cĂŽtĂ©. Saut pĂ©rilleux arriĂšre Back somersault Saut arriĂšre simple. Saut pĂ©rilleux arriĂšre groupĂ© Back tuck Saut arriĂšre simple groupĂ©. Saut pĂ©rilleux arriĂšre position Ă©tendue Back layout Saut simple en position Ă©tendue. Saut pĂ©rilleux avant Saut avant simple. Spatules croisĂ©es Tip cross Semblable Ă  la croix de fer iron cross, spatules croisĂ©es et position verticale du corps. Temps de base Valeur calculĂ©e, diffĂ©rente pour les dames et pour les messieurs. Le calcul du temps de base spĂ©cifique Ă  un parcours se fait en divisant sa longueur en mĂštres par cette valeur. Tremplin Kicker Tremplin en neige permettant aux athlĂštes d’effectuer leurs sauts. Twister Rotation du corps en opposition par rapport aux skis. Virage Turn La qualitĂ© technique des virages est un des Ă©lĂ©ments qu’évaluent et notent les juges des Ă©preuves de bosses. Vitesse Le temps nĂ©cessaire Ă  l’athlĂšte pour effectuer le parcours ; il reprĂ©sente 25% de la note finale. Vrille Twist Rotation autour de l’axe vertical. Vrille dĂ©saxĂ©e Off axis Au moment de l’envol, principalement pour un hĂ©licoptĂšre ou les athlĂštes inclinent l’axe de leur rotation. Zudnick Inclinaison du haut du corps vers les spatules, skis parallĂšles et rapprochĂ©s. Source site du comitĂ© olympique Skide bosses (H) : Cavet au pied du podium. February 5, 2022 14:05 Benjamin Cavet (28 ans) a terminĂ© quatriĂšme de la finale de l'Ă©preuve des bosses des JO de PĂ©kin, aprĂšs avoir terminĂ© 8eme
Avec les derniers prĂ©paratifs pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2022 Ă  Beijing, l’ICSO prĂ©sente une nouvelle sĂ©rie d’articles soulignant comment nous offrons le meilleur soutien en matiĂšre de sciences du sport, de mĂ©decine du sport et de parcours aux partenaires olympiques et paralympiques. La sĂ©rie met l’accent sur la façon dont l’ICSO et ses partenaires sportifs ONPEUT travaillent ensemble pour aider les athlĂštes, les entraĂźneurs et le personnel de soutien olympiques et paralympiques Ă  surmonter l’adversitĂ©, Ă  s’adapter et Ă  atteindre leur potentiel de monter sur le podium. Au cours des deux derniĂšres annĂ©es, le personnel de l’ICSO a fait preuve de dĂ©termination et a trouvĂ© des moyens novateurs d’offrir les meilleurs programmes et services en toute sĂ©curitĂ©; nous avons ainsi amenĂ© les gens et les performances au niveau supĂ©rieur pour CrĂ©erDesChampions. Parce que ONPEUT. – Par David Grossman Quand on grandit au pays du ski, oĂč la neige abonde et la beautĂ© de la nature Ă©merveille, il arrive souvent qu’on s’adonne Ă  ce trĂšs populaire loisir. Megan Oldham et son frĂšre Bruce le savent bien. Il y a quelque temps, ils ont eu une conversation sur l’éthos du ski d’hiver. Cette brĂšve conversation les a amenĂ©s Ă  poursuivre le dialogue, et il s’agissait peut-ĂȘtre lĂ  du dĂ©but de quelque chose de gros, voire de phĂ©nomĂ©nal. Le ski d’hiver est une activitĂ© physique qui, selon les archĂ©ologues, est prĂ©sente depuis toujours. Les gens utilisaient auparavant des skis pour traverser les marais et les milieux humides par mauvais temps. Mais le ski a pris une tout autre dimension pour la famille Oldham. Les discussions entre frĂšres et sƓurs peuvent souvent tourner en contestation, en rivalitĂ© et mĂȘme en conflit. Ce n’est toutefois pas le cas ici. Au contraire, il s’est avĂ©rĂ© trĂšs judicieux pour Megan d’écouter les suggestions de son grand frĂšre. Comme le dit si bien le dicton, rien n’arrive pour rien. Megan et Bruce Oldham ensemble sur les pistes de ski quand ils Ă©taient enfants. La photo avec la permission de Megan Oldham. Quand elle Ă©tait jeune, Megan se consacrait au patinage artistique et Ă  la gymnastique. Elle a relĂ©guĂ© ces activitĂ©s Ă  l’arriĂšre-plan quand elle a constatĂ© le succĂšs et le bonheur que son frĂšre rĂ©coltait sur les pentes. Chacun a une histoire Ă  raconter Ă  propos d’une chose qui lui tient Ă  cƓur, et ces deux jeunes ne font pas exception. Megan s’est initiĂ©e au ski alpin dĂšs l’ñge de cinq ans. Elle affirme que c’est Bruce qui a fait naĂźtre en elle l’idĂ©e de s’élancer sur les pentes du mont St. Louis Moonstone, Ă  environ une heure au nord de Toronto, une station de ski que les membres de la famille ont souvent visitĂ©e. Ils Ă©taient alors loin de se douter que les provocations positives de Bruce permettraient Ă  sa sƓur de vivre des moments inoubliables. [Bruce] croyait que j’aimerais le ski acrobatique parce qu’il savait que j’aimais beaucoup sauter et tournoyer dans les autres sports que je faisais », se souvient Megan, qui Ă©tait aussi athlĂšte multisports Ă  l’école secondaire Parry Sound. L’excitation, de pair avec les encouragements qu’ils se donnaient l’un l’autre, a fini par faire effet. C’est seulement Ă  son quinziĂšme anniversaire que Megan a vraiment eu la piqĂ»re pour ce sport, pour lequel elle a d’ailleurs dĂ» adopter un tout nouveau vocabulaire, comme bosses », sauts aĂ©riens », halfpipes » et slopestyle ». Megan s’est rapidement rendu compte que le sport qu’elle aimait tant Ă©tait une discipline aux Jeux olympiques d’hiver. Puisqu’elle vivait dĂ©jĂ  de nombreux changements et que l’intensitĂ© et l’impact Ă©taient Ă  portĂ©e de main, elle a dĂ©cidĂ© de ne pas se complaire dans la mĂ©diocritĂ© ni de risquer l’indiffĂ©rence. Il n’y avait pas de limites, de contraintes, ni d’excuses. J’apprenais de nouveaux trucs et j’aimais Ă©normĂ©ment le slopestyle », ajoute Megan, qui a fait sa premiĂšre saison au Timber Tour de l’Ontario en 2017. Je voyais bien que mon frĂšre Ă©tait Ă©patĂ©, tellement impressionnĂ© qu’il est arrivĂ© Ă  me convaincre d’essayer quelque chose. Et ça a trĂšs bien fonctionnĂ©. » Megan se souvient d’avoir eu quelques doutes, mais il n’a jamais Ă©tĂ© question de revenir en arriĂšre. Au dĂ©but, j’étais intimidĂ©e. Je voyais toutes ces grandes personnes essayer et tomber », explique-t-elle. En plus, je ne me trouvais pas trĂšs bonne. Mais j’avais toujours ce dĂ©sir de continuer d’apprendre. J’ai suivi les traces de mon frĂšre, et c’est ce qui m’a donnĂ© la passion et l’adrĂ©naline nĂ©cessaires pour continuer. » Megan et Bruce ont toujours eu la chance d’ĂȘtre soutenus par leurs parents, Bonnie et Howard. Ils sont tous deux ravis de l’intĂ©rĂȘt, de l’enthousiasme et du succĂšs de leurs enfants. Megan affirme qu’elle n’avait pas du tout vu venir ce qui l’attendait dans les prochaines semaines et les prochains mois. Je suis maintenant une personne trĂšs compĂ©titive, j’ai de l’expĂ©rience sur les pentes, j’ai participĂ© Ă  des Ă©vĂ©nements majeurs et j’aime vraiment reprĂ©senter le Canada », souligne Megan qui, avec Bruce, reçoit du soutien en sciences du sport et mĂ©decine du sport de l’Institut canadien du sport de l’Ontario ICSO sous forme de prĂ©paration physique et de services thĂ©rapeutiques. Chaque fois que je compĂ©titionne, je vise Ă  faire du mieux que je peux et Ă  en tirer de la fiertĂ© et une envie de m’amĂ©liorer. » En 2018, les compĂ©titions se sont trĂšs bien dĂ©roulĂ©es pour Megan en Italie et en Californie. Elle a disputĂ© et remportĂ© son premier championnat NorAm en mars cette annĂ©e-lĂ . En 2019, elle s’est classĂ©e en premiĂšre place lors d’un Ă©vĂ©nement en Suisse. Au cours des derniĂšres annĂ©es, malgrĂ© la pandĂ©mie, elle s’est Ă©galement classĂ©e parmi les trois premiĂšres au Big Air de NorvĂšge, au Big Air des X-Games d’Aspen et au Championnat du monde de ski acrobatique. Dans sa maison, un assortiment de mĂ©dailles, de statues et d’autres prix trĂŽne dans une armoire. Maintenant que Megan Oldham s’est qualifiĂ©e pour reprĂ©senter le Canada aux Jeux olympiques d’hiver en Chine, elle affirme qu’elle y croira seulement lorsqu’elle sera au parc de neige de Genting dans la zone de Zhangjiakou et au Big Air Shougang Ă  Beijing. Les Ă©vĂ©nements sont prĂ©vus entre le 3 et le 19 fĂ©vrier. Et ce rĂȘve s’est rĂ©alisĂ©. Quelques jours seulement aprĂšs avoir remportĂ© une autre mĂ©daille, d’argent cette fois, aux X Games d’Aspen, au Colorado, et 10 jours avant le dĂ©but des Jeux olympiques, Freestyle Canada a annoncĂ© qu’elle avait Ă©tĂ© choisie pour faire partie de l’équipe de 24 athlĂštes qui participera aux compĂ©titions en Chine. Pour elle, dans la compĂ©tition de Slopestyle/Big Air. Meilleur athlĂšte canadien ne faisant pas partie de l’équipe nationale, Bruce ne participera pas aux compĂ©titions en Chine. Toutefois, il y a de nombreuses façons d’ĂȘtre rĂ©compensĂ©, y compris se classer parmi les cinq premiers dans plusieurs compĂ©titions. Il est aussi le plus grand admirateur de Megan, et c’est ce qui l’a motivĂ© Ă  faire en sorte que sa sƓur se sente bien par rapport Ă  son sport. Ce n’est pas pour tout de suite, mais j’espĂšre y ĂȘtre dans les prochaines annĂ©es », indique Bruce, qui figure actuellement parmi les cinq meilleurs du circuit de la Coupe nord-amĂ©ricaine et qui se prĂ©pare en vue des Jeux olympiques d’hiver de 2026 en Italie. J’ai vu dĂšs le dĂ©but que ma sƓur Ă©tait douĂ©e, mĂȘme meilleure que moi. Et aprĂšs l’avoir vue faire des double flips, j’ai su qu’elle ferait des exploits. Je suis trĂšs fier d’elle et, maintenant, elle me pousse Ă  compĂ©titionner Ă  un niveau trĂšs Ă©levĂ©. Mon objectif est de finir par la rattraper et d’obtenir d’autres mĂ©dailles. » Megan Oldham en compĂ©tition au Big Air Chur Ă  Obere Au, Chur GraubĂŒnden, la Suisse. La photo avec la permission de Megan Oldham. Heather Ross McManus, directrice de la haute performance pour Freestyle Ontario, se souvient d’avoir entendu parler des antĂ©cĂ©dents acrobatiques de Megan, d’avoir vu son entraĂźnement au QuĂ©bec et d’avoir su qu’elle avait les qualitĂ©s d’une athlĂšte de haut calibre. [Megan] a Ă©tĂ© nommĂ©e dans l’équipe nationale avant d’ĂȘtre sĂ©lectionnĂ©e dans l’équipe de l’Ontario. C’est dire Ă  quel point elle Ă©tait bonne », explique Mme Ross McManus, ancienne athlĂšte de calibre international qui a participĂ© aux Jeux olympiques d’AthĂšnes en 2004 comme membre de l’équipe nationale canadienne de trampoline. Elle a dĂ©passĂ© les autres en raison de son talent et de son travail acharnĂ©. » Mme Ross McManus a Ă©galement de bons mots au sujet de la relation de travail entre Freestyle Ontario et l’Institut canadien du sport de l’Ontario. Nos besoins et l’expertise de [l’ICSO], ce sont vraiment des liens privilĂ©giĂ©s », souligne-t-elle. Nous avons plusieurs athlĂštes de l’Ontario qui compĂ©titionnent avec les meilleurs au monde, et l’ICSO, par l’entremise du programme de l’initiative en sport de haute performance de l’Ontario ISHPO, est en mesure de personnaliser des services comme la thĂ©rapie et la prĂ©paration physique pour nos athlĂštes. » Freestyle Ontario, qui profite des conditions mĂ©tĂ©orologiques, exploite des carrefours situĂ©s dans les rĂ©gions de Barrie et d’Ottawa, tandis que l’ISHPO et l’ICSO permettent aux athlĂštes et aux entraĂźneurs de connaĂźtre un succĂšs durable Ă  l’étranger et aux plus hauts niveaux de sport international. David Grossman est un journaliste chevronnĂ©, laurĂ©at de nombreux prix, diffuseur auprĂšs de certains des principaux mĂ©dias canadiens, notamment le Toronto Star et SPORTSNET 590 THE FAN, et professionnel des relations publiques depuis plus de 45 ans dans le domaine des sports et des relations gouvernementales au Canada. Photo de couverture avec la permission de Megan Oldham. Amener les gens et les performances au niveau supĂ©rieur pour Beijing 2022 La sĂ©rie Chapitre 1 Maddie Schizas Chapitre 3 Katie Combaluzier Chapitre 4 Greg Westlake – Personne-ressource pour les mĂ©dias Laura Albright, conseillĂšre principale, Communications & Marketing Institut canadien du sport de l’Ontario TĂ©lĂ©phone 647 395-7536 Courriel [email protected] À propos de l’Institut canadien du sport de l’Ontario L’Institut canadien du sport de l’Ontario ICSO est un organisme sans but lucratif qui se consacre Ă  la quĂȘte de l’excellence en offrant des programmes, des services et un leadership de calibre mondial aux athlĂštes, aux entraĂźneurs et aux organismes sportifs nationaux et provinciaux de haut niveau, afin d’amĂ©liorer leur capacitĂ© Ă  monter sur le podium au niveau international. Notre Ă©quipe de praticiens experts fournit des services de sciences et de mĂ©decine du sport, des services aux athlĂštes, de l’entraĂźnement et du leadership technique pour aider les athlĂštes du Canada Ă  remporter des mĂ©dailles et renforcer le systĂšme sportif au Canada et en Ontario. L’ICSO fait partie du rĂ©seau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada et travaille en partenariat avec le ComitĂ© olympique canadien, le ComitĂ© paralympique canadien, À nous le podium et l’Association canadienne des entraĂźneurs. L’ICSO bĂ©nĂ©ficie Ă©galement du soutien de partenaires financiers tels que le ministĂšre des Industries du patrimoine, du sport, du tourisme et de la culture et Sport Canada.
lacompĂ©tition fait rage.☆ ☆ ☆ don't you dare take off your boots i might need you to strip with it. oh, sexy boots. those boots are made for walking ★ TBMW 2
Photo Sonya PĂ©loquin Olivier Hudon, en haute-voltige, au Cham-pionnat junior canadiens de sauts. 4 juin 2019 Ă  14 heure 07 min Par Production AccĂšs Le skieur acrobatique Olivier Hudon, de Saint-Colomban, a enchaĂźnĂ© les performances du tonnerre en 2018-2019. Sa progression a attirĂ© l’Ɠil des bonzes de ce sports de glisse. ÂgĂ© de 14 ans, celui qui pratique Ă  la fois le style des bosses et des sauts se donne corps et Ăąme Ă  chacune de ses prestations. L’étudiant de troisiĂšme secondaire partage son temps entre deux maisons d’enseignements. Je fais partie d’une entente combinĂ©e de sports-Ă©tudes. Je suis Ă©tudiant Ă  l’école Frenette. Mais, je me joins aussi au programme de l’école Saint-Gabriel, de Sainte-ThĂ©rĂšse. Mes entraĂźnements en pistes sont partagĂ©s entre Sommet Gabriel et Sommet Saint-Sauveur. » Multiples honneurs Le 5 mai dernier, Olivier Hudon a Ă©tĂ© honorĂ© au gala Acroski Laurentides. Il s’y est mĂ©ritĂ© plusieurs prix, dont celui du meilleur esprit sportif, la premiĂšre place en sauts, la premiĂšre place en ski de bosses et la premiĂšre place en ski de bosses toutes catĂ©gories confondues ». J’ai connu un mauvais dĂ©but d’annĂ©e, mais elle s’est plutĂŽt bien finie. Je m’étais forcĂ© Ă  plusieurs compĂ©titions, au dĂ©but, ce qui se traduisait par moins d’entraĂźnement. On a Ă©quilibrĂ© mon programme et ensuite je me suis surpassĂ© », a-t-il prĂ©cisĂ©. NOUVELLES SUGGÉRÉES
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autre nom donné au ski acrobatique